LE POETE JACQUES VIALLEBESSET, UN VRAI "FRERE DE LA CÔTE"...
09 avr. 2014 *
Jacques viallebesset est poète et romancier.
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Ce samedi après-midi, il était à la Médiathèque d'Opale Sud, dans le cadre des Rencontres littéraires initiées par Jean Le Boël.
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Mieux qu'un long discours, voici une de ses poésies les plus célèbres, "Les frères de la côte"...
Corsaires du rêve pirates de l’utopie
Qui avaient poursuivi une autre vie
Dans la nuit de la frime et du paraître
Pour atteindre une certaine joie d’être
J’en ai tant croisé noyant leur amertume
A l’estaminet du quai des brumes
Jouant aux dés leur reste d’espérance
Au rendez-vous de la dernière chance
Ô Mes bien-aimés frères de la côte
Porteurs de la magique lanterne qui clignote
Gentilshommes de mauvaise fortune
Pavillon haut soleil au poing hissé à la hune
Je la connais votre saine et rouge colère
Face au raz de marée de la misère
J’ai vécu moi aussi vos naufrages
Et manqué comme vous de courage
Flibustiers des sentiments qui brûlez vos vaisseaux
Contrebandiers de l’amour vrai au cœur gros
Pantelant sur un navire dématé et sans voiles
Je la perçois avec vous cette flamboyante étoile
Elle m’a guidé jusqu’à une île originelle et bleue
Je navigue désormais dans l’océan de ses yeux.
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*Pour écouter ce poème, cliquez ICI
Corsaires du rêve pirates de l’utopie
Qui avaient poursuivi une autre vie
Dans la nuit de la frime et du paraître
Pour atteindre une certaine joie d’être
J’en ai tant croisé noyant leur amertume
A l’estaminet du quai des brumes
Jouant aux dés leur reste d’espérance
Au rendez-vous de la dernière chance
Ô Mes bien-aimés frères de la côte
Porteurs de la magique lanterne qui clignote
Gentilshommes de mauvaise fortune
Pavillon haut soleil au poing hissé à la hune
Je la connais votre saine et rouge colère
Face au raz de marée de la misère
J’ai vécu moi aussi vos naufrages
Et manqué comme vous de courage
Flibustiers des sentiments qui brûlez vos vaisseaux
Contrebandiers de l’amour vrai au cœur gros
Pantelant sur un navire dématé et sans voiles
Je la perçois avec vous cette flamboyante étoile
Elle m’a guidé jusqu’à une île originelle et bleue
Je navigue désormais dans l’océan de ses yeux.
Corsaires du rêve pirates de l’utopie
Qui avaient poursuivi une autre vie
Dans la nuit de la frime et du paraître
Pour atteindre une certaine joie d’être
J’en ai tant croisé noyant leur amertume
A l’estaminet du quai des brumes
Jouant aux dés leur reste d’espérance
Au rendez-vous de la dernière chance
Ô Mes bien-aimés frères de la côte
Porteurs de la magique lanterne qui clignote
Gentilshommes de mauvaise fortune
Pavillon haut soleil au poing hissé à la hune
Je la connais votre saine et rouge colère
Face au raz de marée de la misère
J’ai vécu moi aussi vos naufrages
Et manqué comme vous de courage
Flibustiers des sentiments qui brûlez vos vaisseaux
Contrebandiers de l’amour vrai au cœur gros
Pantelant sur un navire dématé et sans voiles
Je la perçois avec vous cette flamboyante étoile
Elle m’a guidé jusqu’à une île originelle et bleue
Je navigue désormais dans l’océan de ses yeux.