LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

Ladislas KIJNO voit donc le jour à Varsovie où son père polonais a emmené sa mère française mais la famille revient en 1925 et s' installe à NOEUX les Mines où Josef devient mineur tout en donnant des cours de violon .

D' où l' hommage à ce père haveur et la donation de seize œuvres à la communauté de communes de Noeux les Mines et à l' école où il a usé ses fonds de culotte .

LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

Naturalisé français à l' âge de huit ans , il découvre le dessin avec son père avant d' étudier la philosophie à Lille alors qu' il réalise se premiers travaux artistiques .

C' est en 1946 qu' il expérimente ses premiers papiers froissés et travaille dès 1948 avec Matisse , Léger , Bazaine , Rouault et Germaine Richier à la décoration de l' église du plateau d' Assy ( Haute-Savoie ) .

LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

En 1954 , il fait sa première exposition personnelle et ne s' installera à Paris qu' en 1958 avec le succès de son exposition à la galerie Benezit où il présente papiers froissés , galets et première vaporisation .

LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

Néanmoins , ces quinze premières années seront très riches en recherches et en rencontres .

Picasso le qualifiera "d' artiste puissant , un peu fou peut-être et trop enclin à philosopher" .

LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

Bien avant de prendre un appartement à Paris , il s' y rend souvent et s'initie à différentes techniques et même à la sculpture avec Germaine Richier .

LADISLAS KIJNO...UN PEINTRE DE COMBAT...N° 2

Aucune sculpture n' est présentée au musée du Touquet !

Gérard ROBETTE-PAPET en propose plusieurs des années 1948-1949 .

L' atelier de Germaine Richier était un merveilleux endroit pour étudier les formes et les volumes .

A SUIVRE ...

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